Plus sains. Plus legers. Plus relaxants.
Les pneus type « ballon » étaient déjà à la mode pendant la première partie du siècle dernier. Ils devaient compenser les inégalités des routes qui étaient alors des plus mauvaises. Mais ils étaient lourds et difficiles à conduire.
L'idée initiale de l'époque a été reprise pour le BIG APPLE, le premier pneu de vélo à ballon, qui a déclenché cette nouvelle tendance en 2001. Tout comme les autres pneus généreusement dimensionnés de Schwalbe, il réussit là où les anciens pneus ballon échouaient. Il roule aisément, en toute sécurité tout en étant très facile à conduire.
Les vélos à ballon roulent suivant le principe de la suspension pneumatique des pneus. Le coussin d'air volumineux des pneus spéciaux faisant l'effet d'un amortissement naturel, il est possible de renoncer à une technique de suspension complexe.
Les vélos à ballon roulent avec moins de pression.
Sur le vélo à ballon, la pression de gonflage se règle de manière tout à fait individuelle. La valeur optimale se situe entre 2,0 et 2,5 bars. C'est nettement moins que sur les pneus de randonnées normaux.
Les cyclistes sur des vélos à ballon ne craignent pas les vibrations.
Les cyclistes sur des vélos à ballon sont assis très confortablement. Car la colonne vertébrale ressent de 25% moins les chocs que sur un vélo normal. C'est le résultat d'une étude étendue réalisée en collaboration avec l'école supérieure de sport de Cologne.
Les cyclistes sur des vélos à ballon ressentent moins de résistance.
Les pneus de vélo ballon se déforment au contact du sol différemment des pneus étroits. Il y a moins de perte d'énergie. C'est donc bien différent de ce que la plupart des gens pensent : les pneus de vélo ballon sont larges et roulent quand même plus facilement que les pneus étroits normaux.
Les cyclistes sur des vélos à ballon restent très décontractés.
Les cyclistes sur des vélos à ballon se sentent à l'aise pendant que d'autres commencent à trembler. Car lorsqu'il y a des vibrations et des chocs sur des routes accidentées, la suspension pneumatique des pneus montre au mieux ce qu'elle sait faire. Lors des essais, ces sollicitations étaient moins importantes d'un tiers par rapport à un vélo normal.
Un vélo à ballon s’accroche au sol avec une surface deux fois plus grande qu'un vélo normal. Il ne dévie pratiquement pas de sa route, même lors de manœuvres soudaines de freinage ou de braquage. Les pneus particulièrement larges de 60 mm ne risquent même pas de rentrer dans les rails des tramways.
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